الاثنين، 1 أكتوبر 2012

Khalida Messaoudi: Qu'avez-vous fait de ma demande de subvention pour mes livres

La Ministre de la Culture : «Des opérateurs ont des liens privilégiés et particuliers avec certaines institutions…»

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Invitée l’émission radiophonique «Opinion  Conviction» de la Chaîne III, le samedi 23 juin 2012, dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie, Khalida Toumi avait mis en cause certains opérateurs dilapidant le budget de l’Etat.
Car ayant des accointances avec certaines institutions de l’Etat (sans les nommer). Aussi, lors du forum «Mawiid Maâ El Kalima» (rendez-vous avec la parole) de l’ONCI, Mme Toumi a réitéré sa déclaration à l’endroit de ces opérateurs : «Je vais demander à la Chaîne III de me donner l’enregistrement. Je vais replacer et rappeler ce que j’ai dit. J’ai été invitée dans une émission intitulée «Conviction…». Et à un moment, j’ai parlé de ma conviction qui consiste à croire en un système politique qui garantisse un minimum de service public. J’ai même dit ‘’une forte dose’’ de service public dans le domaine de la culture. Et particulièrement dans un pays comme l’Algérie ayant vécu une colonisation de 132 ans. Et qui est déstructurante et aculturante.
Plus, une décennie qu’on appelle pudiquement noire qui a engendré un ‘’désinvestissement’’  culturel. Un vide qui a été occupé par une force qui se trouve être ennemie de la culture. Et j’ai expliqué ma conviction : qu’il fallait un service public dans mon pays toujours construisant et développant l’industrie de la culture. Et j’ai ajouté que depuis deux ou trois ans et durant le mois du Ramadhan, un danger guette le secteur de la culture. Si on n’y prend pas garde, ce danger finira par empêcher l’Etat d’assurer la mission de service public et ne permettra jamais un développement de l’industrie culturelle.

[...]


Lire la suite sur le site d'El Watan : http://www.elwatan.com/actualite/la-ministre-de-la-cultur...

26.06.2012

Guerre d`ALGERIE :Comment De Gaulle a perdu la guerre d`Algerie par Matthew Connely traduit (par Francoise Bouilot)

Le livre de Matthew Connelly paraîtra chez Média-Plus


“Comment de Gaulle a perdu la guerre d’Algérie ?”

Par : Rubrique Radar L’arme secrète du FLN. Comment de Gaulle a perdu la guerre d’Algérie ? Tel est l’intitulé du nouvel ouvrage de l’historien américain Matthew Connelly (traduit de l'anglais par Françoise Bouilot) dont la sortie est prévue le 30 juin prochain chez les Éditions Média-Plus. Comment le FLN a-t-il fait pour amener de Gaulle et le gouvernement de la France à accepter l'Indépendance ? Pour l’auteur de l’ouvrage, la réponse à cette question “se trouve bien au-delà des frontières de l'Algérie, car c'est sur la scène internationale que les nationalistes ont livré leurs combats les plus décisifs”. Fondé sur une recherche dans les archives et sur des entretiens menés en Europe, en Afrique du Nord et aux États-Unis, ce livre soutient que les luttes les plus décisives de la Révolution algérienne étaient d’une nature résolument diplomatique et se sont déroulées sur la scène internationale.
M. Connelly est professeur d'histoire à Columbia University, aux États-Unis.

22.06.2012

Algerie(Kabylie) : Histoire du 6*B.C.A (Bataillon de chasseurs alpins) en Kabylie

 _6°BCA-2.jpgNous rassemblons toute la documentation : ecrits, audio, video,photos, livres, declarations sur l`histoire du 6BCA en kabylie.RN15_Tirourda.jpg
          un appel est lance a tous les acteurs:  moudjahidines, chasseurs alpins, Historiens, romanciers, appeles  du service militaire, soldats et officiers en retraite, instituteurs,  femmes, enfants temoins des evenements, libraires, lecteurs,  pour contribuer a la reussite de cette oeuvre grandiose.


Adressez vos documents a : sihadj.abdenour@gmail.com




















Tirourda 1958 : camions GMC de la 5*compagnie du 6*BCA de Tizi NDjemaa

Le general Maurice FAIVRE commente Yaha ABDELHAFID

guerre en Kabylie

Yaha

les souvenirs de Yaha Abdelhafid
général Maurice FAIVRE

- Yaha Abdelhafid, Ma guerre d'Algérie. Au cœur des maquis de Kabylie. 1954-1962, Riveneuve, 2012, 381 pages, 20 euros.
Né en 1933 dans les Ath Illilten au nord du Djurdjura, l'auteur appartient à une famille de cultivateurs, aisés et nationalistes. Scout de tendance MTLD, il a suivi une courte scolarité coranique. À la suite d'un séjour en métropole, il est en désaccord avec Messali Hadj et rejoint le FLN aux côtés de Cheikh Amar, génial organisateur de l'Organisation politico-administrative en Kabylie. Dans un fastidieux bavardage, il livre ses souvenirs de guerre à un pigiste de Ouest-France.
Les années 1955-56 sont consacrées à la prise en main de la population ; la propagande est confortée par une douzaine d'attentats contre les notables. Commissaire politique de la ville de Michelet, il reçoit Krim Belkacem et Ouamrane. Enthousiasmé en 1957 par la montée en puissance de l'armement, il organise des refuges familiaux pour l'accueil des djounoud.
Il condamne la sale besogne de Melouza [28 mai 1957]. Ses fonctions politico-militaires à la 1ère compagnie du Djurdjura le conduisent à monter plusieurs embuscades et à fabriquer des mines artisanales. L'enfer de la bleuïte provoque une mutinerie de cette compagnie, destinée à convaincre Amirouche de mettre fin au massacre de ses subordonnés. Les opérations Jumelles destructurent alors la Wilaya kabyle et déstabilisent la population.
Devenu responsable de la région (nahia) 31, il se montre très combattif et échappe «miraculeusement» à la mort. Il relate ses exploits : des embuscades victorieuses, l'attaque d'un poste militaire, l'enlèvement de la harka d'Aït L'qaid, la pénétration des villages de regroupement, des tirs de provocation en ville de Michelet. Il critique vivement les tortionnaires du 6°BTA, dont il cite les noms. Son père et sept membres de sa famille sont torturés ou tués au combat. Mais d'autres militaires français font preuve d'humanité.
Le 19 mars est pour lui la date emblématique de la victoire. Il minimise le massacre des harkis, dont il organise un centre d'internement à Beni Douala ; quelques harkis participent ensuite à la guerre des sables contre le Maroc, puis à la révolte kabyle contre le gouvernement algérien. Opposé au clan d'Oujda, l'auteur dénonce la prise du pouvoir par des arrivistes qui ont trahi la plateforme de la Soummam. Créateur du Front des Forces Socialistes en 1963, il reprend le maquis avant d'être exilé pendant 24 ans.
Ces souvenirs de guerre relatent bien l'action du FLN-ALN vue de l'intérieur. Mais ce n'est qu'un témoignage dont certaines affirmations devraient être confrontées aux archives et aux anciens du 6° BCA.
Maurice Faivre
le 21 juin 2012 
images
Yaha Abdelhafid

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présentation de l'éditeur

La vie de Yaha Abdelhafidh est un combat. Un combat pour l’Algérie. Pour elle, il a pris deux fois le maquis et vécu vingt-quatre années d’exil. Au soir d’une existence toute dévouée à la révolution démocratique et sociale, l’ancien dirigeant du Front des forces socialistes (FFS) se remémore, avec le concours du journaliste Hamid Arab et à la façon des hérauts antiques, la geste de la guerre d’Indépendance pleine de batailles, de bruits et de fureur en convoquant la liste des héros tombés, anonymes ou connus, que l’historiographie officielle a pris soin de gommer.
Car c’est là toute la thèse de Yaha Abdelhafidh : la joie de l’Indépendance a été de courte durée et la révolution a très vite été confisquée. Pour Yaha Abdelhafidh, la seule élection véritablement démocratique que l’Algérie aura connue est le référendum de 1962 approuvant les accords d’Évian et la fin de la guerre avec la France.
Dans ce premier livre – un second volume suivra – l’auteur revient sur son premier maquis : son enfance dans les rudes montagnes de Kabylie, sa formation militante très tôt indépendantiste et ses combats contre l’armée française dans la wilaya III. Il décrit aussi les querelles internes qui minent le Gouvernement provisoire de la République algérienne jusqu’à la conférence de Tripoli de mai-juin 1962 où le clan d’Ahmed Ben Bella et du colonel Houari Boumediene – le FLN extérieur – évince la résistance intérieure pour imposer un pouvoir sans partage à la tête du nouveau pays. Un témoignage d’un acteur de premier plan. Un document de première main.
- Yaha Abdelhafidh est né en 1933 à Takhlijt Ath Atsou, un hameau de Kabylie, dans une famille très tôt mobilisée contre la colonisation française en Algérie. Officier de l’Armée de libération nationale (Front de libération nationale) en Kabylie lors de l’indépendance, Si Abdelhafidh a été un des fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) et surtout négociateur en chef au nom de ce mouvement avec le régime de Ben Bella, puis les hommes du 19 juin. Fin 1965, il part en exil où il poursuit sa lutte politique. Il rentre en Algérie en 1989.
Hamid Arab est correspondant local au quotidien Ouest France et journaliste pigiste pour le site d’information en ligne www.lematindz.net.

21.06.2012

Algerie, OAS : oui, je me souviens

 A l'époque je ne devais avoir que dix ans. Ce dont je me souviens, faure si hadj de gaulle.jpgc'est que mon père était allé faire son service militaire en Algérie. Il est tombé amoureux de ce pays et s'y était fait des amis "A la vie à la mort". Mais pas les bons. Mon parrain était Pied noir quand l'Algérie avait obtenu son indépendance. Alors c'était tout ce beau monde, les copains de mon père qui aaient pris l'avion en abandonnant tout là bas. La femme de mon parrain avait sur elle de l'or et tout ce qu'elle avait pu prendre comme richesses avec elle. Ils disaient" Je ne comprend pas. On était gentil avec eux, on les aimait bien" Sauf que les algériens étaient leurs employés, des esclaves dans leur propre pays. Et puis, mon père, je ne sais comment il fini par s'embarquer dans l'O.A.S et parfois le soir sa femme, ma belle mère disait" Il est parti plastiquer" je ne sais quel endroit.....


15.06.2012

Iferhounene : les amis qui nous réconfortent viennent d'horizons lointains

Bonjour ami,
j'ai fini le livre, j'aimerai bien faire parvenir un mot à son auteur, est-ce possible ?
Amicalement
Jean
yaha historienne 2.JPG


j'ai troqué le PM contre la tondeuse, c'est mieux

13.06.2012

Iferhounene : Mes amis dans le monde

Bte2 - gut resto.JPGtipaza,chasseurs  d'amour.JPG

12.06.2012

Iferhounene : Escapade tout azimut dans l'histoire et le présent

DSC03945.JPGDSC03981.JPGDSC04017.JPGDSC04019.JPGDSC04023.JPGDSC04024.JPGgabrile et conroux à la maison.JPGDSC04066.JPGroger conroux livre.JPG

Guerre d'Algerie : la mort de l'adjudant Arpin en Kabylie

C'est le 20 novembre 1960 que l'adjudant Arpin, l'homme que l'on qualifia d'icone de la lutte "anti-terroriste" tomba foudroyé d'une balle dans la téte, par le commando de choc dit commando du Djurdjura,  dans la région de Abi Youcef (Ath Vou Youcef) non loin de Tachekirt où la vélléda Lalla Fatma N Soumer entre 1854-1857 a livré une rude bataille contre les forces du Maréchal Randon, le général Mac Mahon , le général Yusuf, qu'il a été mortellement touché.
C'est également auparavant , soit le 5 octobre 1960, au méme endroit que le chasseur alpin du commando  partisan 11 dirigé par le méme Arpin que Murzilli Raymond sera blessé à la téte.Une blessure qui lui vaudra une infirmité à vie. Murzilli 6°bca ait hichem.JPGmurzilli citation.JPGces informations sont également insérées en detail dans l'ouvrage en cours d'édition  consacré à l'histoire du 6°BCA en Kabylie  de 1956 à 1960

11.06.2012

Histoire d'Algerie : Le role de Khalida Messaoudi, de la culture en Algerie?

Bonjour Madameimages?q=tbn:ANd9GcSIJU-RIVstRznzY1djjdkGAWLsrrWQiv5WvGShg5wJ8LqT4V1trA

     je suis au regret de vous informer que je suis profondément déçu quant à la contribution de votre administration dans l'écriture de notre histoire révolutionnaire.
  Nous sommes confinés à recourir à des éditeurs étrangers pour publier nos livres. Cette pratique nous coute beaucoup, en devises etrangères. nous recourons aux moyens de nos amis émigrés. comme au temps de la fédération de France.
     les subventions ne nous concernent pas, nous qui sommes les victimes directes de la guerre de libération.
Où vont les subventions du ministère, de l'Etat, du peuple algérien? qui en decide?Quels thèmes et quelles régions, quels critères pour les subventions?Quelles sommes faramineuses utilisées à des fins inutiles,? à des idées saugrenues de pseudo dramaturges, d'artistes médiocres et de visions aveugles?
Les martyrs viendront un jour réclamer la vérité, méme si les vivants en sont privés. Ce jour là, chacun rendra compte de ses bienfaits et méfaits. l'eternité, l'omnipotence, l'omniprésence, l'omniscience appartiennent à Dieu!

Mélanie : la Reine de nouvelobs

Mélanie, la reine de nouvelobsphoto?memberId=002127c6f9bu1hen&ts=946681200000&type=0

Mélanie ressemble à la reine d'Angleterre quand le peuple est sorti dans la rue pour réclamer du pain. la réaction de la reine en voyant cette foule déchainée :" mais qu'est ce qu'ils demandent tous ces gens là?"
son conseiller lui répondit alors" majesté, ils veulent du pain"
réponse de la reine : " mais alors, s'il n y a pas de pain, qu'ils mangent des croissants!"
Pour Mélanie qui ne voit pas quel est mon problème , je réponds :" je veux la liberté d'expression"
Mais chère Mélanie, pourquoi veux-tu que je sois raffiné, moi qui suis un dégat collatéral de la guerre d'Algerie. C'est aussi une manière d'etre , de s'exprimer ....pourvu que ce que l'on dit soit vrai

10.06.2012

Guerre d'Algerie : colonel Amirouche victime d'une trahison. Pourquoi Boumédiene a-t-il séquestré le corps des deux colonels?

amirchedossiersecret.jpgHamou Amirouche revient sur la mort du chef de la Wilaya III “Amirouche a été vendu à l'armée française” Par : YAHIA ARKAT “Non, reste là où tu es, j'arrive pour m'expliquer et régler des comptes avec eux.” C'est la substance du message du colonel Amirouche à son secrétaire particulier, Hamou Amirouche, envoyé à Tunis avec un groupe de moudjahidine pour ravitailler les maquis de l'intérieur en armements et munitions. IIntervenant lors d'une conférence organisée, vendredi à Montréal, par l'Association culturelle Assedikia-Québec (ACAQ), Hamou Amirouche, auteur du livre Akfadou, un an avec le colonel Amirouche, a évoqué des fragments d'histoire liés à la guerre de Libération nationale. Le conférencier raconte comment il a rejoint l'ALN alors qu'il était apprenti dans un centre de formation à Béjaïa ; une lettre expédiée au colonel suivie d'une rencontre fortuite avec ce dernier au village et le jeune Hamou se voit engagé dans la Révolution aux côtés du chef de la Wilaya III ; il est revenu dans le détail sur le parcours du colonel Amirouche qu'il qualifie de symbole, de héros hors du commun. "Quand j'ai reçu à Tunis la lettre de Si Amirouche, mes mains tremblaient", se souvient-il, lui qui a été révolté par le train de vie de la délégation embourgeoisée de Tunis, alors que les maquis de l'intérieur étaient pratiquement laminés, faisant sienne la célèbre expression du colonel Lotfi qui avait déclaré "ne plus vivre avec ces loups". Le chef de la Wilaya V a, d'ailleurs, trouvé la mort pratiquement dans les mêmes circonstances que Si El-Haouès et Amirouche. La mort de ces derniers évoquée dans son livre est le résultat d'une trahison. “J'ai évoqué la source de la trahison dans mon livre. Il y avait des indicateurs y compris dans la Wilaya III, qui regroupe 7 wilayas actuelles. Une chose est sûre : Amirouche a été vendu aux Français. Sinon, on ne peut pas expliquer un tel déploiement de l'armée coloniale, le nombre impressionnant de troupes mobilisées, plus de 3 000 soldats, l'armement lourd mis à contribution et ce, dans un petit périmètre du djebel Tameur. C'est la preuve qu'on avait signalé la présence du colonel", révèle l'orateur. Le groupe envoyé à Tunis par le chef de la Wilaya III avait été reçu durant une semaine par la délégation du GPRA, Krim Belkacem, Bentobal et Ferhat Abbas, après un périple infernal qui a duré 42 jours. Sur les 35 membres de la mission, seulement 12 ont survécu aux embuscades meurtrières de l'armée française. "Avant de publier la lettre que m'avait envoyée le colonel Amirouche, j'ai consulté trois personnalités : un ancien Chef de gouvernement, une grande personnalité politique et un historien, en l'occurrence Mohamed Harbi”, ajoute l'ancien secrétaire du chef des maquis de la Kabylie, qui s'est vu répondre par l'historien : “ou tu témoignes, ou tu verses dans l'idéologie.” Le conférencier a passé en revue nombre d'épisodes de la Révolution armée, comme “la bleuite”, suite à l'infiltration des maquis de l'ALN par une grosse manipulation du capitaine Léger. Hamou Amirouche se souvient encore de la lettre envoyée par le colonel au chef de la Zone autonome d'Alger, Yacef Saâdi, qui sera capturé deux jours plus tard. L'opération “Oiseau bleu” a été une réponse à la manipulation du capitaine Léger. Cette opération consistait en l'organisation de faux maquis. Revenant sur la séquestration des restes des deux colonels par Boumediene, Hamou Amirouche s'interroge si l'état actuel de la nation correspond à la vision d'Abane et d’Amirouche, dont le destin est symétrique. Par ailleurs, le lendemain à Ottawa, Hamou Amirouche a développé un peu plus le sujet à l'invitation de l'Association culturelle amazighe d'Ottawa-Hull (ACAOH). L'universitaire, qui a vu les maquis de la Kabylie brûler au napalm, a rappelé à l'assistance les propos emprunts de prophétie du colonel Amirouche : "Notre lutte est juste et elle triomphera ; le peuple reprendra son destin." À l'annonce de la mort du chef de la Wilaya III, Hamou Amirouche errait dans les rues de Tunis jusqu'au petit matin, où le maquisard accoucha d'un poème, lui qui n'a jamais versifié taqbaylit : “Non, Amirouche n'est pas mort !”

l'Algerie est de retour

livres explosifs histoire.JPGOuI? C'est l'Algerie qui revient au centre des intéréts géostratégiques. Économie : pétrole, industriel centrales atomiques, autoroutes, hydrauliques, assainissements, énérgies nouvelles, management, télécommunications ,infrastructures touristiques, etc
Histoire: les débats et les témoignages sur l'histoire de l'Algerie sont lancés et rien ne peut les arréter . l'ecriture de l'histoire authentique est engagée.
le tourisme : et oui! beaucoup de touristes ont fait leur apparition et sont très satisfaits  surtout du paysage et de l'accueil de la population , malgré la faible, très faible infrastructure touristique

03.06.2012

Iferhounene : l'avis des internautes de nouvelobs

yaha historienne souriant.JPGA ceux qui font dans l'hypocrisie en cherchant à criminaliser le colonialisme français, je vous pose une seule question : " savez-vous réellement ce qui s'était passé durant la guerre d'Algerie? avez-vous simplement une idée de ce qu'a été l'opération" Jumelles". je suis personnellement pour laisser aux historiens cette question grave de la guerre d'Algerie. ma réponse est du reste insérée dans mon livre paru aux éditions l'harmattan sous le titre" mémoires d'un enfant de la guerre" je suis personnellement contre la demande que l'Algerie pourrait formuler à la France pour se repantir.( voir mes arguments dans le livre)
http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/06/02/escapade-dans-l-hsitoire.html
http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/06/02/escapade-dans-l-hsitoire.html

Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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Si Hadj Mohand

Je ne comprends vraiment pas votre logique. La France, en violation flagrante de sa constitution, elle a voté des lois dites "Mémorielles" incriminant et pénalisant lourdement : révision, négation et toute forme de critique de la Shoah et du "Génocide arménien" qui remontent, respectivement au début des années 40 et à 1915. Pourquoi cette même France ne reconnaitrait-elle pas ses massacres commis en Algérie et en France entre 1945 et 1962 ? Et pourquoi les quelques 440 voleurs du parlement algérien ne voteraient-ils pas une loi incriminant les crimes coloniaux ? La reconnaissance et la pénalisation des crimes commis par les autres et en niant les siens la France n'a-t-elle pas injuriés la mémoire des ses victimes algériennes ?

Écrit par : Aissa-Hakim | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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@Aissa Hakim
il y a à mon avis lieu d'éviter de faire dans l'amalgame. En effet , vous avez raison de dire 400 voleurs. ces 400 voleurs sont-ils qualifiés pour traiter, de criminalisation et de la repentance, de cette question qui concerne tout le peuple algérien. A la limite si le parlement était légitime, ses membres connaissant l'histoire d'Algerie, cela aurait pu passer. Dans ce cas, le peuple délègue ses pouvoirs aux députés.
il y a aussi cet aspect de pardon . sommes-nous habilités, nous les vivants , et en particulier les vivants de la trempe de Belkhadem qui n'a jamais entendu parler de la guerre d'Algerie, à pardonner des crimes au nom de ces nombreux morts. C'est, me semble-t-il, une question qui relève de Dieu. On pardonne un larcin , un vol, une phrase mal placée, un coup de poing, une insulte, mais c'est la victime vivante qui en est l'initiatrice. MAIS UN MORT NE PEUT PARDONNER!
tiercio: appartient-il à l'Algerie de demander à la FRANCE POUR VENIR S'EXCUSER DES CRIMES COMMIS. DU RESTE LES CRIMES PEUVENT ETRE EXCUSeS,. la France à travers son gouvernement , doit venir spontanément par le biais du parlement, et des institutions demander pardon à l'Algerie , aux martyrs algériens.
Aussi , cette excuse , parait aux yeux des Belkhadem et des membres de l'APN , comme acquise, il suffirait pour cela que la France le demande. le este vous le connaissez, vous pouvez le déduire vous-mêmes.
résultat des courses : l'Algerie n'a aucun problème avec la France. les membres du pouvoir n'ont plus à se justifier de leurs actes vis à vis des victimes de la guerre de libération.
on vous dira alors, la guerre c'est terminé, les victimes c'est du passé, l'accord franco algérien doit être respecté. etc accord va être à l'avenir opposer aux parties en droit d'attendre de légitimes compensations
en consacrant par des textes de loi d'accord, une repentance , c'est l'histoire que l'on veut effacer. pour dire que cela est définitivement réglé, et qu'il n y a plus lieu d'en parler. par extension ...c'est-à-dire de l'histoire que l'on veut bifurquer, chuinter, bipasser. pour le bonheur des opportunistes et des dirigeants illégitimes

Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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la repentance de la France pour crime commis , profitera aux opportunistes du pouvoir illégitime : la voie est libre, par conséquent , il n y a plus de légitimité révolutionnaire, les victimes collatérales peuvent toujours aller se lamenter devant le mur des lamentations.
les opportunistes vont diront alors : il n y a plus de famille révolutionnaires au sens historique du terme et non plus idéologique, tel que voulu par l'état usurpateur.
l'État usurpateur prendra alors toute sa légitimité dans le vent du mensonge et de la démagogie

Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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la question n'est pas dénuée d'arrières pensées : à qui profitera cette repentance? à qui profitera la criminalisation( un moyen hypocrite des opportunistes de se dédouaner vis à vis des avants droits en leur vendant du vent : rrrih)
quelle contrepartie pour les victimes de la guerre? du vent! quelle contrepartie pour 40 voleurs avec à leur têtes les pseudo chefs de partis : la légitimité administrative
on dira que les députés ont vengé les victimes de la guerre. et quelle vengeance! en gonflant encore d'avantage leurs salaires, en s'octroyant des avantages sans limite etc...
pour les enfants de chouhadas , on dira alors c'est dépassé! la guerre est fini , les accords sont signés; il n y a plus de problème entre la France et l'Algerie , sous entendu plus de problème de traumatismes de guerre , ni d'intérêts lésés par le colonialisme.
en termes plus clairs : ceux qui cherchent à obtenir cette criminalisation et cette repentance , ce sont ceux-là qui ne sont touchés ni de près ni de loin par la guerre. ils cherchent alors à aplanir les difficultés qui peuvent gêner leur pouvoir sur les couches sociales défavorisées.

Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/06/03/france-algerie-criminalisation-de-la-colonisation-et-repenta.html
le débat sur la criminalisation et la repentance est ouvert
il ne faut pas à mon avis raisonner à contrario du parlement français. ce qu'il fait ne nous concerne pas!
nous avons notre révolution et notre histoire, nous n'avons pas demandé l'avis des colonialistes français pour les attaquer. on ne demandera pas leur avis pour écrire notre histoire
cela n'engage que le parlement français
notre parlement a fort à faire dans d'autres domaines
en ce qui me concerne , je ne pardonne pas mais, je ne me venge pas!
je ne peux pardonner à ceux qui ont tué mon père et mon frère , ma tante , mes cousins etc..
mais je suis serein, je ne me venge pas. et si je devais le faire? ..contre qui?! par contre Rocard, hollande et tout le peuple français!!
le nouvel observateur.france..namane abdellah chettibi.spain 2012 october

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