La Ministre de la Culture : «Des opérateurs ont des liens privilégiés et particuliers avec certaines institutions…»
Invitée l’émission radiophonique «Opinion Conviction» de la Chaîne III, le samedi 23 juin 2012, dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie, Khalida Toumi avait mis en cause certains opérateurs dilapidant le budget de l’Etat.
Car ayant des accointances avec certaines institutions de
l’Etat (sans les nommer). Aussi, lors du forum «Mawiid Maâ El Kalima»
(rendez-vous avec la parole) de l’ONCI, Mme Toumi a réitéré sa
déclaration à l’endroit de ces opérateurs : «Je vais demander à la
Chaîne III de me donner l’enregistrement. Je vais replacer et rappeler
ce que j’ai dit. J’ai été invitée dans une émission intitulée
«Conviction…». Et à un moment, j’ai parlé de ma conviction qui consiste à
croire en un système politique qui garantisse un minimum de service
public. J’ai même dit ‘’une forte dose’’ de service public dans le
domaine de la culture. Et particulièrement dans un pays comme l’Algérie
ayant vécu une colonisation de 132 ans. Et qui est déstructurante et
aculturante.
Plus, une décennie qu’on appelle pudiquement noire qui a engendré un ‘’désinvestissement’’ culturel. Un vide qui a été occupé par une force qui se trouve être ennemie de la culture. Et j’ai expliqué ma conviction : qu’il fallait un service public dans mon pays toujours construisant et développant l’industrie de la culture. Et j’ai ajouté que depuis deux ou trois ans et durant le mois du Ramadhan, un danger guette le secteur de la culture. Si on n’y prend pas garde, ce danger finira par empêcher l’Etat d’assurer la mission de service public et ne permettra jamais un développement de l’industrie culturelle.
[...]
Lire la suite sur le site d'El Watan : http://www.elwatan.com/actualite/la-ministre-de-la-cultur...
Plus, une décennie qu’on appelle pudiquement noire qui a engendré un ‘’désinvestissement’’ culturel. Un vide qui a été occupé par une force qui se trouve être ennemie de la culture. Et j’ai expliqué ma conviction : qu’il fallait un service public dans mon pays toujours construisant et développant l’industrie de la culture. Et j’ai ajouté que depuis deux ou trois ans et durant le mois du Ramadhan, un danger guette le secteur de la culture. Si on n’y prend pas garde, ce danger finira par empêcher l’Etat d’assurer la mission de service public et ne permettra jamais un développement de l’industrie culturelle.
[...]
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12:54 Écrit par
abdenour dans Algerie,
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de l'homme, France,
Histoire,
Kabylie, l'enfant, la femme, Le
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26.06.2012
Guerre d`ALGERIE :Comment De Gaulle a perdu la guerre d`Algerie par Matthew Connely traduit (par Francoise Bouilot)
Le livre de Matthew Connelly paraîtra chez Média-Plus
“Comment de Gaulle a perdu la guerre d’Algérie ?”
Par : Rubrique Radar L’arme secrète du FLN. Comment de Gaulle a perdu la guerre d’Algérie ? Tel est l’intitulé du nouvel ouvrage de l’historien américain Matthew Connelly (traduit de l'anglais par Françoise Bouilot) dont la sortie est prévue le 30 juin prochain chez les Éditions Média-Plus. Comment le FLN a-t-il fait pour amener de Gaulle et le gouvernement de la France à accepter l'Indépendance ? Pour l’auteur de l’ouvrage, la réponse à cette question “se trouve bien au-delà des frontières de l'Algérie, car c'est sur la scène internationale que les nationalistes ont livré leurs combats les plus décisifs”. Fondé sur une recherche dans les archives et sur des entretiens menés en Europe, en Afrique du Nord et aux États-Unis, ce livre soutient que les luttes les plus décisives de la Révolution algérienne étaient d’une nature résolument diplomatique et se sont déroulées sur la scène internationale.M. Connelly est professeur d'histoire à Columbia University, aux États-Unis.
00:24 Écrit par
abdenour dans 6°BCA,
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22.06.2012
Algerie(Kabylie) : Histoire du 6*B.C.A (Bataillon de chasseurs alpins) en Kabylie
Nous rassemblons toute la documentation : ecrits,
audio, video,photos, livres, declarations sur l`histoire du 6BCA en
kabylie.
un appel est lance a tous les
acteurs: moudjahidines, chasseurs alpins, Historiens, romanciers,
appeles du service militaire, soldats et officiers en retraite,
instituteurs, femmes, enfants temoins des evenements, libraires,
lecteurs, pour contribuer a la reussite de cette oeuvre grandiose.
Adressez vos documents a :
sihadj.abdenour@gmail.com
Tirourda 1958 : camions GMC de la 5*compagnie du 6*BCA de Tizi NDjemaa
15:56 Écrit par
abdenour dans 6°BCA,
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Le general Maurice FAIVRE commente Yaha ABDELHAFID
guerre en Kabylie
les souvenirs de Yaha Abdelhafid
général Maurice FAIVRE
- Yaha Abdelhafid, Ma guerre
d'Algérie. Au cœur des maquis de Kabylie. 1954-1962, Riveneuve,
2012, 381 pages, 20 euros.
Né en 1933 dans les Ath Illilten au nord
du Djurdjura, l'auteur appartient à une famille de cultivateurs, aisés
et nationalistes. Scout de tendance MTLD, il a suivi une courte
scolarité coranique. À la suite d'un séjour en métropole, il est en
désaccord avec Messali Hadj et rejoint le FLN aux côtés de Cheikh Amar,
génial organisateur de l'Organisation politico-administrative en
Kabylie. Dans un fastidieux bavardage, il livre ses souvenirs de guerre à
un pigiste de Ouest-France.
Les années 1955-56 sont consacrées à la
prise en main de la population ; la propagande est confortée par une
douzaine d'attentats contre les notables. Commissaire politique de la
ville de Michelet, il reçoit Krim Belkacem et Ouamrane. Enthousiasmé en
1957 par la montée en puissance de l'armement, il organise des refuges
familiaux pour l'accueil des djounoud.
Il condamne la sale besogne de Melouza
[28 mai 1957]. Ses fonctions politico-militaires à la 1ère compagnie du
Djurdjura le conduisent à monter plusieurs embuscades et à fabriquer des
mines artisanales. L'enfer de la bleuïte provoque une mutinerie de
cette compagnie, destinée à convaincre Amirouche de mettre fin au
massacre de ses subordonnés. Les opérations Jumelles destructurent alors
la Wilaya kabyle et déstabilisent la population.
Devenu responsable de la région (nahia)
31, il se montre très combattif et échappe «miraculeusement» à la mort.
Il relate ses exploits : des embuscades victorieuses, l'attaque d'un
poste militaire, l'enlèvement de la harka d'Aït L'qaid, la pénétration
des villages de regroupement, des tirs de provocation en ville de
Michelet. Il critique vivement les tortionnaires du 6°BTA, dont il cite
les noms. Son père et sept membres de sa famille sont torturés ou tués
au combat. Mais d'autres militaires français font preuve d'humanité.
Le 19 mars est pour lui la date
emblématique de la victoire. Il minimise le massacre des harkis, dont il
organise un centre d'internement à Beni Douala ; quelques harkis
participent ensuite à la guerre des sables contre le Maroc, puis à la
révolte kabyle contre le gouvernement algérien. Opposé au clan d'Oujda,
l'auteur dénonce la prise du pouvoir par des arrivistes qui ont trahi la
plateforme de la Soummam. Créateur du Front des Forces Socialistes en
1963, il reprend le maquis avant d'être exilé pendant 24 ans.
Ces souvenirs de guerre relatent bien
l'action du FLN-ALN vue de l'intérieur. Mais ce n'est qu'un témoignage
dont certaines affirmations devraient être confrontées aux archives et
aux anciens du 6° BCA.
Maurice
Faivre
le 21 juin 2012
le 21 juin 2012
_______________________________
présentation de l'éditeur
La vie de Yaha Abdelhafidh est un
combat. Un combat pour l’Algérie. Pour elle, il a pris deux fois le
maquis et vécu vingt-quatre années d’exil. Au soir d’une existence toute
dévouée à la révolution démocratique et sociale, l’ancien dirigeant du
Front des forces socialistes (FFS) se remémore, avec le concours du
journaliste Hamid Arab et à la façon des hérauts antiques, la geste de
la guerre d’Indépendance pleine de batailles, de bruits et de fureur en
convoquant la liste des héros tombés, anonymes ou connus, que
l’historiographie officielle a pris soin de gommer.
Car c’est là toute la thèse de Yaha
Abdelhafidh : la joie de l’Indépendance a été de courte durée et la
révolution a très vite été confisquée. Pour Yaha Abdelhafidh, la seule
élection véritablement démocratique que l’Algérie aura connue est le
référendum de 1962 approuvant les accords d’Évian et la fin de la guerre
avec la France.
Dans ce premier livre – un second volume
suivra – l’auteur revient sur son premier maquis : son enfance dans les
rudes montagnes de Kabylie, sa formation militante très tôt
indépendantiste et ses combats contre l’armée française dans la wilaya
III. Il décrit aussi les querelles internes qui minent le Gouvernement
provisoire de la République algérienne jusqu’à la conférence de Tripoli
de mai-juin 1962 où le clan d’Ahmed Ben Bella et du colonel Houari
Boumediene – le FLN extérieur – évince la résistance intérieure pour
imposer un pouvoir sans partage à la tête du nouveau pays. Un témoignage
d’un acteur de premier plan. Un document de première main.
- Yaha Abdelhafidh est né en 1933 à
Takhlijt Ath Atsou, un hameau de Kabylie, dans une famille très tôt
mobilisée contre la colonisation française en Algérie. Officier de
l’Armée de libération nationale (Front de libération nationale) en
Kabylie lors de l’indépendance, Si Abdelhafidh a été un des fondateurs
du Front des forces socialistes (FFS) et surtout négociateur en chef au
nom de ce mouvement avec le régime de Ben Bella, puis les hommes du 19
juin. Fin 1965, il part en exil où il poursuit sa lutte politique. Il
rentre en Algérie en 1989.
Hamid Arab est correspondant local au
quotidien Ouest France et journaliste pigiste pour le site
d’information en ligne www.lematindz.net.
14:27 Écrit par
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21.06.2012
Algerie, OAS : oui, je me souviens
A l'époque je ne devais avoir que dix ans. Ce dont je me souviens, c'est que mon père était allé faire son service militaire en Algérie. Il est tombé amoureux de ce pays et s'y était fait des amis "A la vie à la mort". Mais pas les bons. Mon parrain était Pied noir quand l'Algérie avait obtenu son indépendance. Alors c'était tout ce beau monde, les copains de mon père qui aaient pris l'avion en abandonnant tout là bas. La femme de mon parrain avait sur elle de l'or et tout ce qu'elle avait pu prendre comme richesses avec elle. Ils disaient" Je ne comprend pas. On était gentil avec eux, on les aimait bien" Sauf que les algériens étaient leurs employés, des esclaves dans leur propre pays. Et puis, mon père, je ne sais comment il fini par s'embarquer dans l'O.A.S et parfois le soir sa femme, ma belle mère disait" Il est parti plastiquer" je ne sais quel endroit.....
21:47 Écrit par
abdenour dans 6°BCA,
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15.06.2012
Iferhounene : les amis qui nous réconfortent viennent d'horizons lointains
Bonjour ami,
j'ai fini le livre, j'aimerai bien faire parvenir un mot à son auteur, est-ce possible ?
Amicalement
Jean
j'ai troqué le PM contre la tondeuse, c'est mieux
j'ai fini le livre, j'aimerai bien faire parvenir un mot à son auteur, est-ce possible ?
Amicalement
Jean
j'ai troqué le PM contre la tondeuse, c'est mieux
19:42 Écrit par
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13.06.2012
Iferhounene : Mes amis dans le monde
20:26 Écrit par
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12.06.2012
Iferhounene : Escapade tout azimut dans l'histoire et le présent
20:09 Écrit par
abdenour dans 6°BCA,
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Guerre d'Algerie : la mort de l'adjudant Arpin en Kabylie
C'est
le 20 novembre 1960 que l'adjudant Arpin, l'homme que l'on qualifia
d'icone de la lutte "anti-terroriste" tomba foudroyé d'une balle dans la
téte, par le commando de choc dit commando du Djurdjura, dans la
région de Abi Youcef (Ath Vou Youcef) non loin de Tachekirt où la
vélléda Lalla Fatma N Soumer entre 1854-1857 a livré une rude bataille
contre les forces du Maréchal Randon, le général Mac Mahon , le général
Yusuf, qu'il a été mortellement touché.
C'est
également auparavant , soit le 5 octobre 1960, au méme endroit que le
chasseur alpin du commando partisan 11 dirigé par le méme Arpin que
Murzilli Raymond sera blessé à la téte.Une blessure qui lui vaudra une
infirmité à vie. ces informations sont également insérées en
detail dans l'ouvrage en cours d'édition consacré à l'histoire du 6°BCA
en Kabylie de 1956 à 1960
01:13 Écrit par
abdenour dans 6°BCA,
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11.06.2012
Histoire d'Algerie : Le role de Khalida Messaoudi, de la culture en Algerie?
Bonjour Madame
je suis au regret de vous informer que je suis profondément déçu quant à la contribution de votre administration dans l'écriture de notre histoire révolutionnaire.
Nous sommes confinés à recourir
à des éditeurs étrangers pour publier nos livres. Cette pratique nous coute beaucoup, en
devises etrangères. nous recourons aux moyens de nos amis émigrés. comme
au temps de la fédération de France.
les subventions ne nous
concernent pas, nous qui sommes les victimes directes de la guerre de
libération.
Où vont les subventions du ministère, de
l'Etat, du peuple algérien? qui en decide?Quels thèmes et quelles
régions, quels critères pour les subventions?Quelles sommes faramineuses
utilisées à des fins inutiles,? à des idées saugrenues de pseudo
dramaturges, d'artistes médiocres et de visions aveugles?
Les martyrs viendront un jour réclamer la
vérité, méme si les vivants en sont privés. Ce jour là, chacun rendra
compte de ses bienfaits et méfaits. l'eternité, l'omnipotence,
l'omniprésence, l'omniscience appartiennent à Dieu!
20:44 Écrit par
abdenour dans 6°BCA,
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Mélanie : la Reine de nouvelobs
Mélanie, la reine de nouvelobs
Mélanie ressemble à la reine d'Angleterre quand le peuple est sorti dans la rue pour réclamer du pain. la réaction de la reine en voyant cette foule déchainée :" mais qu'est ce qu'ils demandent tous ces gens là?"
son conseiller lui répondit alors" majesté, ils veulent du pain"
réponse de la reine : " mais alors, s'il n y a pas de pain, qu'ils mangent des croissants!"
Pour Mélanie qui ne voit pas quel est mon problème , je réponds :" je veux la liberté d'expression"
Mélanie ressemble à la reine d'Angleterre quand le peuple est sorti dans la rue pour réclamer du pain. la réaction de la reine en voyant cette foule déchainée :" mais qu'est ce qu'ils demandent tous ces gens là?"
son conseiller lui répondit alors" majesté, ils veulent du pain"
réponse de la reine : " mais alors, s'il n y a pas de pain, qu'ils mangent des croissants!"
Pour Mélanie qui ne voit pas quel est mon problème , je réponds :" je veux la liberté d'expression"
Mais chère Mélanie, pourquoi veux-tu que je
sois raffiné, moi qui suis un dégat collatéral de la guerre d'Algerie.
C'est aussi une manière d'etre , de s'exprimer ....pourvu que ce que
l'on dit soit vrai
19:26 Écrit par
abdenour dans 6°BCA,
abane, Abdenour
Si Hadj Mohand, Algerie, Kabylie, Le
colonel Amirouche, Livre, politique |
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10.06.2012
Guerre d'Algerie : colonel Amirouche victime d'une trahison. Pourquoi Boumédiene a-t-il séquestré le corps des deux colonels?
Hamou Amirouche revient sur la mort du
chef de la Wilaya III “Amirouche a été vendu à l'armée française” Par :
YAHIA ARKAT “Non, reste là où tu es, j'arrive pour m'expliquer et régler
des comptes avec eux.” C'est la substance du message du colonel
Amirouche à son secrétaire particulier, Hamou Amirouche, envoyé à Tunis
avec un groupe de moudjahidine pour ravitailler les maquis de
l'intérieur en armements et munitions. IIntervenant lors d'une
conférence organisée, vendredi à Montréal, par l'Association culturelle
Assedikia-Québec (ACAQ), Hamou Amirouche, auteur du livre Akfadou, un an
avec le colonel Amirouche, a évoqué des fragments d'histoire liés à la
guerre de Libération nationale. Le conférencier raconte comment il a
rejoint l'ALN alors qu'il était apprenti dans un centre de formation à
Béjaïa ; une lettre expédiée au colonel suivie d'une rencontre fortuite
avec ce dernier au village et le jeune Hamou se voit engagé dans la
Révolution aux côtés du chef de la Wilaya III ; il est revenu dans le
détail sur le parcours du colonel Amirouche qu'il qualifie de symbole,
de héros hors du commun. "Quand j'ai reçu à Tunis la lettre de Si
Amirouche, mes mains tremblaient", se souvient-il, lui qui a été révolté
par le train de vie de la délégation embourgeoisée de Tunis, alors que
les maquis de l'intérieur étaient pratiquement laminés, faisant sienne
la célèbre expression du colonel Lotfi qui avait déclaré "ne plus vivre
avec ces loups". Le chef de la Wilaya V a, d'ailleurs, trouvé la mort
pratiquement dans les mêmes circonstances que Si El-Haouès et Amirouche.
La mort de ces derniers évoquée dans son livre est le résultat d'une
trahison. “J'ai évoqué la source de la trahison dans mon livre. Il y
avait des indicateurs y compris dans la Wilaya III, qui regroupe 7
wilayas actuelles. Une chose est sûre : Amirouche a été vendu aux
Français. Sinon, on ne peut pas expliquer un tel déploiement de l'armée
coloniale, le nombre impressionnant de troupes mobilisées, plus de 3 000
soldats, l'armement lourd mis à contribution et ce, dans un petit
périmètre du djebel Tameur. C'est la preuve qu'on avait signalé la
présence du colonel", révèle l'orateur. Le groupe envoyé à Tunis par le
chef de la Wilaya III avait été reçu durant une semaine par la
délégation du GPRA, Krim Belkacem, Bentobal et Ferhat Abbas, après un
périple infernal qui a duré 42 jours. Sur les 35 membres de la mission,
seulement 12 ont survécu aux embuscades meurtrières de l'armée
française. "Avant de publier la lettre que m'avait envoyée le colonel
Amirouche, j'ai consulté trois personnalités : un ancien Chef de
gouvernement, une grande personnalité politique et un historien, en
l'occurrence Mohamed Harbi”, ajoute l'ancien secrétaire du chef des
maquis de la Kabylie, qui s'est vu répondre par l'historien : “ou tu
témoignes, ou tu verses dans l'idéologie.” Le conférencier a passé en
revue nombre d'épisodes de la Révolution armée, comme “la bleuite”,
suite à l'infiltration des maquis de l'ALN par une grosse manipulation
du capitaine Léger. Hamou Amirouche se souvient encore de la lettre
envoyée par le colonel au chef de la Zone autonome d'Alger, Yacef Saâdi,
qui sera capturé deux jours plus tard. L'opération “Oiseau bleu” a été
une réponse à la manipulation du capitaine Léger. Cette opération
consistait en l'organisation de faux maquis. Revenant sur la
séquestration des restes des deux colonels par Boumediene, Hamou
Amirouche s'interroge si l'état actuel de la nation correspond à la
vision d'Abane et d’Amirouche, dont le destin est symétrique. Par
ailleurs, le lendemain à Ottawa, Hamou Amirouche a développé un peu plus
le sujet à l'invitation de l'Association culturelle amazighe
d'Ottawa-Hull (ACAOH). L'universitaire, qui a vu les maquis de la
Kabylie brûler au napalm, a rappelé à l'assistance les propos emprunts
de prophétie du colonel Amirouche : "Notre lutte est juste et elle
triomphera ; le peuple reprendra son destin." À l'annonce de la mort du
chef de la Wilaya III, Hamou Amirouche errait dans les rues de Tunis
jusqu'au petit matin, où le maquisard accoucha d'un poème, lui qui n'a
jamais versifié taqbaylit : “Non, Amirouche n'est pas mort !”
21:08 Écrit par
abdenour dans 6°BCA,
abane, Abdenour
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colonel Amirouche, Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note
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l'Algerie est de retour
OuI? C'est l'Algerie qui revient au
centre des intéréts géostratégiques. Économie : pétrole, industriel
centrales atomiques, autoroutes, hydrauliques, assainissements, énérgies
nouvelles, management, télécommunications ,infrastructures
touristiques, etc
Histoire: les débats et les témoignages sur
l'histoire de l'Algerie sont lancés et rien ne peut les arréter .
l'ecriture de l'histoire authentique est engagée.
le tourisme : et oui! beaucoup de touristes
ont fait leur apparition et sont très satisfaits surtout du paysage et
de l'accueil de la population , malgré la faible, très faible
infrastructure touristique
15:30 Écrit par
abdenour dans 6°BCA,
abane, Abdenour
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03.06.2012
Iferhounene : l'avis des internautes de nouvelobs
A ceux qui font dans l'hypocrisie en
cherchant à criminaliser le colonialisme français, je vous pose une
seule question : " savez-vous réellement ce qui s'était passé durant la
guerre d'Algerie? avez-vous simplement une idée de ce qu'a été
l'opération" Jumelles". je suis personnellement pour laisser aux
historiens cette question grave de la guerre d'Algerie. ma réponse est
du reste insérée dans mon livre paru aux éditions l'harmattan sous le
titre" mémoires d'un enfant de la guerre" je suis personnellement contre
la demande que l'Algerie pourrait formuler à la France pour se
repantir.( voir mes arguments dans le livre)
http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/06/02/escapade-dans-l-hsitoire.html
http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/06/02/escapade-dans-l-hsitoire.html
Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
Répondre à ce commentaire si hadj mohand
Si Hadj Mohand
Je ne comprends vraiment pas votre logique. La France, en violation flagrante de sa constitution, elle a voté des lois dites "Mémorielles" incriminant et pénalisant lourdement : révision, négation et toute forme de critique de la Shoah et du "Génocide arménien" qui remontent, respectivement au début des années 40 et à 1915. Pourquoi cette même France ne reconnaitrait-elle pas ses massacres commis en Algérie et en France entre 1945 et 1962 ? Et pourquoi les quelques 440 voleurs du parlement algérien ne voteraient-ils pas une loi incriminant les crimes coloniaux ? La reconnaissance et la pénalisation des crimes commis par les autres et en niant les siens la France n'a-t-elle pas injuriés la mémoire des ses victimes algériennes ?
Écrit par : Aissa-Hakim | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
Répondre à ce commentaire Aissa-Hakim
@Aissa Hakim
il y a à mon avis lieu d'éviter de faire dans l'amalgame. En effet , vous avez raison de dire 400 voleurs. ces 400 voleurs sont-ils qualifiés pour traiter, de criminalisation et de la repentance, de cette question qui concerne tout le peuple algérien. A la limite si le parlement était légitime, ses membres connaissant l'histoire d'Algerie, cela aurait pu passer. Dans ce cas, le peuple délègue ses pouvoirs aux députés.
il y a aussi cet aspect de pardon . sommes-nous habilités, nous les vivants , et en particulier les vivants de la trempe de Belkhadem qui n'a jamais entendu parler de la guerre d'Algerie, à pardonner des crimes au nom de ces nombreux morts. C'est, me semble-t-il, une question qui relève de Dieu. On pardonne un larcin , un vol, une phrase mal placée, un coup de poing, une insulte, mais c'est la victime vivante qui en est l'initiatrice. MAIS UN MORT NE PEUT PARDONNER!
tiercio: appartient-il à l'Algerie de demander à la FRANCE POUR VENIR S'EXCUSER DES CRIMES COMMIS. DU RESTE LES CRIMES PEUVENT ETRE EXCUSeS,. la France à travers son gouvernement , doit venir spontanément par le biais du parlement, et des institutions demander pardon à l'Algerie , aux martyrs algériens.
Aussi , cette excuse , parait aux yeux des Belkhadem et des membres de l'APN , comme acquise, il suffirait pour cela que la France le demande. le este vous le connaissez, vous pouvez le déduire vous-mêmes.
résultat des courses : l'Algerie n'a aucun problème avec la France. les membres du pouvoir n'ont plus à se justifier de leurs actes vis à vis des victimes de la guerre de libération.
on vous dira alors, la guerre c'est terminé, les victimes c'est du passé, l'accord franco algérien doit être respecté. etc accord va être à l'avenir opposer aux parties en droit d'attendre de légitimes compensations
en consacrant par des textes de loi d'accord, une repentance , c'est l'histoire que l'on veut effacer. pour dire que cela est définitivement réglé, et qu'il n y a plus lieu d'en parler. par extension ...c'est-à-dire de l'histoire que l'on veut bifurquer, chuinter, bipasser. pour le bonheur des opportunistes et des dirigeants illégitimes
Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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la repentance de la France pour crime commis , profitera aux opportunistes du pouvoir illégitime : la voie est libre, par conséquent , il n y a plus de légitimité révolutionnaire, les victimes collatérales peuvent toujours aller se lamenter devant le mur des lamentations.
les opportunistes vont diront alors : il n y a plus de famille révolutionnaires au sens historique du terme et non plus idéologique, tel que voulu par l'état usurpateur.
l'État usurpateur prendra alors toute sa légitimité dans le vent du mensonge et de la démagogie
Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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la question n'est pas dénuée d'arrières pensées : à qui profitera cette repentance? à qui profitera la criminalisation( un moyen hypocrite des opportunistes de se dédouaner vis à vis des avants droits en leur vendant du vent : rrrih)
quelle contrepartie pour les victimes de la guerre? du vent! quelle contrepartie pour 40 voleurs avec à leur têtes les pseudo chefs de partis : la légitimité administrative
on dira que les députés ont vengé les victimes de la guerre. et quelle vengeance! en gonflant encore d'avantage leurs salaires, en s'octroyant des avantages sans limite etc...
pour les enfants de chouhadas , on dira alors c'est dépassé! la guerre est fini , les accords sont signés; il n y a plus de problème entre la France et l'Algerie , sous entendu plus de problème de traumatismes de guerre , ni d'intérêts lésés par le colonialisme.
en termes plus clairs : ceux qui cherchent à obtenir cette criminalisation et cette repentance , ce sont ceux-là qui ne sont touchés ni de près ni de loin par la guerre. ils cherchent alors à aplanir les difficultés qui peuvent gêner leur pouvoir sur les couches sociales défavorisées.
Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/06/03/france-algerie-criminalisation-de-la-colonisation-et-repenta.html
le débat sur la criminalisation et la repentance est ouvert
il ne faut pas à mon avis raisonner à contrario du parlement français. ce qu'il fait ne nous concerne pas!
nous avons notre révolution et notre histoire, nous n'avons pas demandé l'avis des colonialistes français pour les attaquer. on ne demandera pas leur avis pour écrire notre histoire
cela n'engage que le parlement français
notre parlement a fort à faire dans d'autres domaines
en ce qui me concerne , je ne pardonne pas mais, je ne me venge pas!
je ne peux pardonner à ceux qui ont tué mon père et mon frère , ma tante , mes cousins etc..mais je suis serein, je ne me venge pas. et si je devais le faire? ..contre qui?! par contre Rocard, hollande et tout le peuple français!!
http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/06/02/escapade-dans-l-hsitoire.html
http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/06/02/escapade-dans-l-hsitoire.html
Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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Si Hadj Mohand
Je ne comprends vraiment pas votre logique. La France, en violation flagrante de sa constitution, elle a voté des lois dites "Mémorielles" incriminant et pénalisant lourdement : révision, négation et toute forme de critique de la Shoah et du "Génocide arménien" qui remontent, respectivement au début des années 40 et à 1915. Pourquoi cette même France ne reconnaitrait-elle pas ses massacres commis en Algérie et en France entre 1945 et 1962 ? Et pourquoi les quelques 440 voleurs du parlement algérien ne voteraient-ils pas une loi incriminant les crimes coloniaux ? La reconnaissance et la pénalisation des crimes commis par les autres et en niant les siens la France n'a-t-elle pas injuriés la mémoire des ses victimes algériennes ?
Écrit par : Aissa-Hakim | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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@Aissa Hakim
il y a à mon avis lieu d'éviter de faire dans l'amalgame. En effet , vous avez raison de dire 400 voleurs. ces 400 voleurs sont-ils qualifiés pour traiter, de criminalisation et de la repentance, de cette question qui concerne tout le peuple algérien. A la limite si le parlement était légitime, ses membres connaissant l'histoire d'Algerie, cela aurait pu passer. Dans ce cas, le peuple délègue ses pouvoirs aux députés.
il y a aussi cet aspect de pardon . sommes-nous habilités, nous les vivants , et en particulier les vivants de la trempe de Belkhadem qui n'a jamais entendu parler de la guerre d'Algerie, à pardonner des crimes au nom de ces nombreux morts. C'est, me semble-t-il, une question qui relève de Dieu. On pardonne un larcin , un vol, une phrase mal placée, un coup de poing, une insulte, mais c'est la victime vivante qui en est l'initiatrice. MAIS UN MORT NE PEUT PARDONNER!
tiercio: appartient-il à l'Algerie de demander à la FRANCE POUR VENIR S'EXCUSER DES CRIMES COMMIS. DU RESTE LES CRIMES PEUVENT ETRE EXCUSeS,. la France à travers son gouvernement , doit venir spontanément par le biais du parlement, et des institutions demander pardon à l'Algerie , aux martyrs algériens.
Aussi , cette excuse , parait aux yeux des Belkhadem et des membres de l'APN , comme acquise, il suffirait pour cela que la France le demande. le este vous le connaissez, vous pouvez le déduire vous-mêmes.
résultat des courses : l'Algerie n'a aucun problème avec la France. les membres du pouvoir n'ont plus à se justifier de leurs actes vis à vis des victimes de la guerre de libération.
on vous dira alors, la guerre c'est terminé, les victimes c'est du passé, l'accord franco algérien doit être respecté. etc accord va être à l'avenir opposer aux parties en droit d'attendre de légitimes compensations
en consacrant par des textes de loi d'accord, une repentance , c'est l'histoire que l'on veut effacer. pour dire que cela est définitivement réglé, et qu'il n y a plus lieu d'en parler. par extension ...c'est-à-dire de l'histoire que l'on veut bifurquer, chuinter, bipasser. pour le bonheur des opportunistes et des dirigeants illégitimes
Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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la repentance de la France pour crime commis , profitera aux opportunistes du pouvoir illégitime : la voie est libre, par conséquent , il n y a plus de légitimité révolutionnaire, les victimes collatérales peuvent toujours aller se lamenter devant le mur des lamentations.
les opportunistes vont diront alors : il n y a plus de famille révolutionnaires au sens historique du terme et non plus idéologique, tel que voulu par l'état usurpateur.
l'État usurpateur prendra alors toute sa légitimité dans le vent du mensonge et de la démagogie
Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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la question n'est pas dénuée d'arrières pensées : à qui profitera cette repentance? à qui profitera la criminalisation( un moyen hypocrite des opportunistes de se dédouaner vis à vis des avants droits en leur vendant du vent : rrrih)
quelle contrepartie pour les victimes de la guerre? du vent! quelle contrepartie pour 40 voleurs avec à leur têtes les pseudo chefs de partis : la légitimité administrative
on dira que les députés ont vengé les victimes de la guerre. et quelle vengeance! en gonflant encore d'avantage leurs salaires, en s'octroyant des avantages sans limite etc...
pour les enfants de chouhadas , on dira alors c'est dépassé! la guerre est fini , les accords sont signés; il n y a plus de problème entre la France et l'Algerie , sous entendu plus de problème de traumatismes de guerre , ni d'intérêts lésés par le colonialisme.
en termes plus clairs : ceux qui cherchent à obtenir cette criminalisation et cette repentance , ce sont ceux-là qui ne sont touchés ni de près ni de loin par la guerre. ils cherchent alors à aplanir les difficultés qui peuvent gêner leur pouvoir sur les couches sociales défavorisées.
Écrit par : si hadj mohand | 03.06.2012 | Avertir le modérateur
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http://iferhounen.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/06/03/france-algerie-criminalisation-de-la-colonisation-et-repenta.html
le débat sur la criminalisation et la repentance est ouvert
il ne faut pas à mon avis raisonner à contrario du parlement français. ce qu'il fait ne nous concerne pas!
nous avons notre révolution et notre histoire, nous n'avons pas demandé l'avis des colonialistes français pour les attaquer. on ne demandera pas leur avis pour écrire notre histoire
cela n'engage que le parlement français
notre parlement a fort à faire dans d'autres domaines
en ce qui me concerne , je ne pardonne pas mais, je ne me venge pas!
je ne peux pardonner à ceux qui ont tué mon père et mon frère , ma tante , mes cousins etc..mais je suis serein, je ne me venge pas. et si je devais le faire? ..contre qui?! par contre Rocard, hollande et tout le peuple français!!
le nouvel observateur.france..namane abdellah chettibi.spain 2012 october
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