02.Aissa Hakim : l'homme qui voudrait refaire l'histoire pour insulter les colonels Amirouche et Sil El Houas

ignorer la mort de Sil El Houas et de Si Amirouche , dans ton texte que j'apprecie du reste pour ce qu'il avance, c'est se comporter en aveugle en plein brousse

Écrit par : si hadj mohand | 28.09.2012 | Avertir le modérateur

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Si Hadj Mohand,

Je vous avoue que j'ai beaucoup plus de sympathie et de compassion à l'égard des quelques 6000 victimes d'un fanatiques nommé Amirouche, manipulé par les services coloniaux, que du comment le bourreau a-t-il été tué et quel sort a-t-on réservé à son cadavre.
Qu’il me soit encore permis de marquer résolument mon camp, d’être la voix des sans voix. A vous vos héros et à moi les miens.

Écrit par : Aissa-Hakim | 28.09.2012 | Avertir le modérateur

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quand Hakim Aissa, juge les morts et fait l apologie de la profanation des cadavres, il n y a plus place ni a la science , ni a la religion salafiste soit elle , ni a la raison, encore moins a l histoire
Amirouche ,colonel de l armée nationale de libération s est bien oppose aux colonialistes de grades de généraux. quand a prendre le parti d un croquemorts politque qu était Boumedienne cela se nomme régionalisme au moins , racisme au plus

Écrit par : si hadj mohand | 29.09.2012 | Avertir le modérateur

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Si Hadj Mohand,

Gloire aux centaines de milliers de victimes de fanatiques, de sectaires, d'incultes, d'innommables assassins, qui se sont lâchement hissés en lieu et place des anciens maîtres de l'Algérie et rabaissé le peuple algérien à rang bien inférieur à celui qui été le sien sous la colonisation. Morts ou vifs le salauds restent des salauds !

Pendant la guerre d'Algérie, le FLN avait ordonné la mise à mort des chiens. Un paysan, allié du FLN, trop attaché à son compagnon à 4 pattes, avait tardé à le tuer. Des incultes armés sont intervenus, ils l'ont contraint non pas seulement à le tuer mais également à boire son sang et à manger sa chair. Voir Jacques Massu, la vraie bataille d'Alger.L'auteur donne le nom du douar. Ou cas où vous souhaiteriez vérifier.

Écrit par : Aissa-Hakim | 29.09.2012 | Avertir le modérateur

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Massu est loin de pouvoir donner des leçons de civilisation. lui qui était un tortionnaire inégalable
la revolution est propre et ce n est ni hakim , ni moi ni Massu qui pourront la défigurer.
que ce pauvre paysan n ait rien compris a la sécurité des moudjahidines, certes il ne méritait ce sort, mais la révolution a ses règles que nul ne doit ignorer. par contre le colonialisme a ses techniques inhumaines que tout le monde ne connait pas forcement

Écrit par : si hadj mohand | 30.09.2012 | Avertir le modérateur

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Quand un bourreau est sollicite pour un témoignage sur la guerre d Algerie, cela s appelle perdre la raison
d ou bien que si Hakim qui était pourtant un bien pensant devienne subitement effronté

Écrit par : si hadj mohand | 30.09.2012 | Avertir le modérateur

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Si Hadj Mohand,

La révolution algérienne a été déclenchée au nom du peuple algérienne. Elle doit être à son exclusif service. Les 6000 jeunes algériens, enfants du peuple, victimes de folie meurtrière des Amirouche ne sont ni moins algériens ni moins martyrs que leurs bourreaux. Cette révolution avait pour but principal déclaré : libérer le peuple de l'injustice coloniale, lui rendre sa liberté, l'instruire, le traiter dignement.

D'aucuns ont sacralisé cette révolution, hissé des de voyous, des assassins de faux moudjahdin au rang de saints marabouts.

Dans ce bas monde, le culte des morts n'est pas ma tasse de Thé.Dans l'au-delà, s'il y a une justice divine, je serai témoin à charge contre les assassins du peuple et les dévastateurs de l'Algérie et l'avocat de leurs innombrables victimes.

Écrit par : Aissa-Hakim | 01.10.2012 | Avertir le modérateur

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pour qui roule ici bas; notre ami Hakim Aissa?
Amirouche mort ou vif continue non seulement de faire peur, mais de susciter la colère et l 'envie des insignifiants
la revolution , soit dit au passage , n'est pas un film qui se rejoue au ralenti, et c'est dommage pour ceux qui n y ont pas participé.Amirouche et Si El Houas , il est vrai , sont morts les rames à la main , ses compagnons etaient au nombre de 70 alors que leurs ennemis étaient pas moins de 2 500 ce jour 28 mars 1959.. Aissa Hakim , malgré son érudition ne peut refaire l'histoire, il peut simplement écrire des romans de fiction en temps de paix